Réveiller sa confiance en soi

Dans un monde où tout va de plus en plus vite, il est difficile de trouver sa place quand les hésitations nous tourmentent sans cesse, quand on se compare aux autres en s’estimant trop petit, quand on se contente de peu par peur d’échouer ou de ne pas être à la hauteur, quand on a l’appréhension d’être rejeté en sortant des cases dans lesquelles on nous a confinés, et quand on a peur de ne plus être aimé si l’on cherche à s’affirmer. 

Et pourtant, on sent au plus profond de nous qu’on pourrait mieux faire. Et tellement davantage !

Si vous manquez de confiance en vous, j’ai une très bonne nouvelle : la confiance en soi sommeille en chacun de nous. Elle est là dès notre naissance. C’est une aptitude innée qui nous a poussés à nous tenir debout, à réussir nos premiers pas, et à entrer de plain-pied dans la vie. 

Hélas, pour beaucoup d’entre nous, elle s’est endormie, à force de contraintes sociales et de fausses croyances, qui nous ont peu à peu empêchés d’être nous-mêmes.

La confiance en soi a seulement besoin d’être réveillée par des stratégies simples à mettre en œuvre.

En à peine quelques jours, vous pourrez recouvrer la joie et la puissance de vivre dans un monde où tout vous sera à nouveau possible, où vous ne jugerez plus négativement la peur d’oser, et où votre audace, votre ténacité et votre détermination seront naturellement vos meilleures alliées. 

C’est ce que je vous propose avec ce guide, qui est le fruit de mes vingt-cinq années de coaching et d’ateliers d’expression personnelle, au contact de publics divers et variés, qui ont depuis retrouvé le goût de passer à l’action. Et de vivre pleinement leur vie.

Comment ? En comprenant qu’il ne faut pas juger nos émotions, et qu’il est inutile de tenter de les maîtriser. 

En assimilant leur fonctionnement. En découvrant que nous pouvons leurrer notre cerveau comme les artistes trompent le leur pour nous subjuguer, par une prise de conscience rapide, agréable et définitive. En adoptant la respiration efficace et la posture gagnante. En rallumant la spontanéité. Et en passant à l’action. Le tout à l’aide d’exercices et techniques fluides et ludiques à pratiquer.

Votre métamorphose est à portée de main, pour enfin surmonter les obstacles avec succès dans tous les domaines de votre existence.

Vous êtes prêt pour oser vivre la vie que vous méritez et à délivrer toute la force du potentiel qui sommeille en vous ? 

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 » Au départ, l’enfant est innocent. L’enfant est insouciant. L’enfant a toutes les clés de l’épanouissement personnel en lui. Nous les avons juste égarées en grandissant. »

Introduction du livre « Réveiller sa confiance en soi en deux temps et trois mouvements »

LA CONFIANCE EN SOI

Avoir confiance en soi, c’est être en relation de confiance avec soi-même

L’estime de soi, c’est le regard que nous portons sur nous-mêmes. Ce regard se base sur un ressenti: la valeur que l’on se donne à soi-même.

La confiance en soi est l’une des parcelles de l’estime de soi: si nous la renforçons, alors nous renforçons notre estime de soi. La confiance en soi est en lien avec notre capacité à nous mettre en action.

Manquer de confiance en soi nous déstabilise, et peut nous faire perdre nos moyens quand on doute de nos capacités dans une situation précise. 

Manquer de confiance en soi donne du pouvoir à notre peur de l’échec.

Avoir confiance en soi, c’est oser agir.

Réveiller sa confiance en soi, c’est relancer le moteur de notre action.

LES CROYANCES LIMITANTES

La confiance en soi est liée à la perception personnelle de nos capacités et de nos croyances. Tout se joue en premier lieu dans nos pensées. 

Des psychologues canadiens ont pu déterminer que six mille pensées nous traversent l’esprit chaque jour. D’autres avancent même le nombre de soixante mille pensées quotidiennes.

Peu importe au final la véracité de ces chiffres, surtout quand on sait que plus de neuf fois sur dix, elles sont totalement erronées… et ne se vérifient jamais.

Notre problème est de nous accrocher sans preuve, sans arguments (ni contre-arguments), à ces pensées négatives qui nous pourrissent l’existence, et nous empêchent d’avancer, ces trop fameuses « croyances limitantes » :

« Je n’y arriverai jamais », « Ce n’est pas pour moi », « Je n’ai jamais été doué pour ça »… et tant d’autres encore.

À la base, le discours interne négatif est une protection que nous offre notre cerveau pour nous décourager de faire quelque chose d’insensé qui pourrait mettre notre vie en danger. Mais entre ne pas sauter dans le vide sans parachute et ne pas oser pousser la porte d’un cours de cuisine (par exemple), par peur du ridicule, ou parce qu’on se trouve trop vieux pour ça, il y a une sacrée différence.

Il existe quelque chose qui peut empêcher l’invasion de ces pensées limitantes, c’est… l’action.

ET L’APPRENTISSAGE ÉMOTIONNEL ?

Il n’existe pas une matière scolaire qui soit dédiée à l’apprentissage émotionnel. Ni à l’école, ni à la maison, sauf exception, on ne nous a jamais appris les émotions, ni surtout à ne pas les juger.

Notre éducation est en cause, comme nos cultures différentes.

Cela n’a pas grand-chose à voir avec les émotions, mais voici un exemple parlant pour bien comprendre nos dilemmes acquis dès l’enfance : en Afrique, par exemple, il est très mal vu de regarder une personne âgée dans les yeux, c’est une marque d’irrespect.

Pourtant, lors d’un entretien d’embauche, ne pas regarder le responsable dans les yeux est irrémédiablement un critère d’élimination.

Comment faire, dès lors, entre le « baisse les yeux quand je te parle » et le « regarde-moi quand je te parle » ?

On nous a appris par défaut à juger nos émotions, pire, à les gérer peut-être ? Il faut désapprendre tout cela. Car si je juge certaines de mes émotions, alors je risque fort de juger celles d’autrui, d’autant qu’il n’est pas aisé de les reconnaître chez l’autre. C’est même souvent impossible.

ACCEPTONS NOS ÉMOTIONS

Si nous nous décidons à accueillir les émotions que nous ressentons, quelles qu’elles soient, si nous leur donnons leur vrai nom, au bout d’un moment, elles deviendront nos alliées, car elles ne pourront plus nous prendre au dépourvu, nous n’aurons plus à les cacher, et nous construire une carapace.

Et sans carapace, nous serons plus ouverts au monde, et à toutes ses possibilités.

Accepter ses émotions, c’est accepter le message que notre corps nous envoie. Et l’accepter, c’est parvenir à s’en libérer beaucoup plus rapidement que si on la cache, on la fuit, ou on la retient.

C’est une perte de temps, une perte d’énergie, et une perte de santé, à la longue. Notre confiance en nous passe d’abord par la libération de nos émotions.

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Waléry Doumenc accompagne des groupes de collégiens, de lycéens, d’étudiants, de commerciaux, de professeurs, de détenus, de patrons de PME, de secrétaires de direction, d’auxiliaires de vie, d’étrangers tout juste arrivés en France, de gardiens d’immeuble, de jeunes décrocheurs scolaires, de comédiens (amateurs comme professionnels), d’avocats, de publicitaires…

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